Les startups au secours des impacts du changement climatique !
Cette semaine on cherche à lutter contre la canicule et notamment dans le cadre urbain, on s'intéresse aux start-up engagées dans la lutte contre le réchauffement climatique et à la tech radieuse.
Les corolles, future canopée urbaine = On vous en dit plus !
“Saint-Quentin-en-Yvelines sera terre d’accueil des Jeux olympiques et paralympiques d’été en 2024. Différents aménagements seront déployés afin d’accueillir dans les meilleures conditions le public, les athlètes et les usagers de SQY.
Les contrallées de l’avenue du centre à Montigny-le-Bretonneux constituent un site potentiel de gare routière pour les navettes JO 2024, le transport collectif et les liaisons douces étant les moyens de locomotion privilégiés dans le cadre de cet évènement. Les usagers des navettes devront patienter sur une zone habituellement dédiée au stationnement de véhicules, il fallait trouver une solution d’aménagement à caractère temporaire car cet événement sera organisé entre juillet et septembre 2024, avec un risque de fortes chaleurs.
Solution
Le projet s’inscrit dans un secteur urbain dense et peu végétalisé du fait du caractère sur dalle de l’Hypercentre à proximité.
Il convenait donc de répondre à un besoin d’aménager des îlots de fraicheurs et ce de manière provisoire, car il n’est pas possible de répondre par la plantation d’arbres dont le potentiel de développement d’une canopée satisfaisante se situe à l’échelle d’une à deux générations. La direction des Espaces verts de SQY a noué une collaboration inédite avec la « jeune pousse » Urban Canopee pour déployer des îlots de fraîcheur dans les contre-allées de l’avenue du Centre, à Montigny-le-Bretonneux.
Les corolles développées par cette start-up francilienne sont autonomes en énergie et intègrent un système d’irrigation intelligent.
Ces structures en matériau composite, dont vous avez peut-être déjà aperçu les premiers spécimens, vont être végétalisées au fil des mois par des plantes grimpantes. Chacune de ces 16 corolles végétalisées pourra apporter un ombrage de 50 m2 lorsque les plantes grimpantes seront pleinement développées (d’où un achat anticipé de 18 mois).”
Retrouvez l’article sur le site de Saint-Quentin-en-Yvelines dans son intégralité ici.
Elles réparent les ravages du changement climatique : 3 startups à connaître
“Voici trois sociétés qui luttent au quotidien contre le réchauffement climatique et ses conséquences.
namR : la Data au service de la transition
Fondée en 2017, cette pépite française a développé un outil d’analyse de la Data qui vient en aide aux entreprises privées ou publiques dans le cadre de leur transition écologique. Concrètement, namR s’intéresse aux milliers de données importantes pour la transition écologiques. Prises isolément, ces dernières sont inexploitables, mais une fois traitées par ses outils, elles deviennent intelligibles.
À ses clients dans le bâtiment, la société propose donc des informations telles que le potentiel solaire, le taux de végétalisation d’une parcelle, l’usage d’un bâtiment et la consommation d’énergie.
Elle s’intéresse aussi aux milieux de l’assurance et de la banque en analysant les risques environnementaux et extra-financiers. Enfin, l’entreprise travaille aussi avec des télécoms, des sociétés de la distribution, ou encore des enseignes comme Leroy Merlin.
Rumin8 : la startup qui a séduit Bill Gates
Lancée en 2021, cette Greentech australienne a développé un complément alimentaire à base d’algues rouges qui vise à réduire la production de méthane du fait de la digestion des fibres par les bovins.
Les chiffres annoncés ont de quoi rendre optimiste puisque cette solution réduirait de 80 % le rejet de gaz par les vaches. Cela pourrait prêter à sourire, mais selon des données datant de 2015, les émissions de méthane provenant des élevages pèseraient pour 16 % des émissions de gaz à effet de serre.”
Retrouvez l’article de Presse citron dans son intégralité ici.
Start-up primées, robots en garrigue, bâtiments écoconçus… comment Marseille devient la cité de la tech radieuse
“L'un d'eux se dessine plus nettement que les autres : «Faire d'Aix-Marseille la capitale de l'impact.»
Sur tous les fronts
Bien sûr, l'entrepreneuriat engagé se multiplie partout. Mais ici plus qu'ailleurs, il semble une évidence. «La cleantech représente le premier secteur d'activité de nos membres, devant la santé et le transport maritime», précise encore Diane Renaud. Cleantech, et non greentech, plus courant mais pas assez précis aux yeux des acteurs locaux, qui innovent sur tous les fronts. Énergies propres, agriculture durable, transports décarbonés, dépollution de l'air, de l'eau et des sols… Quatrième métropole mondiale des cleantech, donc, Aix-Marseille-Provence a été désignée capitale européenne de l'innovation en décembre dernier. La cité phocéenne bénéficie d'un label attribué aux cent métropoles du continent jugées capables d'atteindre la neutralité carbone d'ici à 2030. Dans le même temps, on crée en Provence de plus en plus de start-up et on lève toujours plus de fonds – 319 millions en 2021 pour les membres de la French Tech. Des start-up qui cumulent les récompenses : ces cinq dernières années, la métropole est ainsi la plus primée du monde au CES de Las Vegas, grand-messe de l'innovation. Cette croissance soutenue résulte, entre autres, de collaborations tous azimuts entre start-up, laboratoires de recherche et groupes industriels, souvent au service de projets d'une ampleur gigantesque. Comme ceux menés à coups de milliards d'euros sur le grand port maritime de Marseille. Responsable de l'émission de 18 millions de tonnes de CO2 par an, soit 25 % des émissions industrielles françaises, celui-ci a récemment remporté, tout comme Le Havre, un appel à projets de l'État pour devenir une zone industrielle bas carbone.
On a longtemps regardé Marseille pour tout autre chose que sa force d'innovation mais cela ne nous a pas empêchés de travailler
LAURENCE OLIVIER, DIRECTRICE GÉNÉRALE DE MARSEILLE INNOVATION
En bref, Marseille la verte semble entrer en ébullition. «En réalité, nous sommes à la tâche depuis vingt-cinq ans, ce qui fait de nous un territoire référent», corrige Laurence Olivier, directrice générale de Marseille Innovation, l'incubateur le plus important de la région, créé en 1996. Avec un budget d'1,6 million d'euros, il héberge et accompagne en moyenne 150 entrepreneurs par an, et en finance 12 via son propre fonds d'innovation. «Nos membres développent un large panel de technologies, notamment dans le numérique – data, intelligence artificielle, blockchain – et l'industrie du futur, dont beaucoup à des fins écologiques», poursuit-elle en nous guidant dans les couloirs de la Belle de Mai, l'un des campus de Marseille Innovation. Depuis qu'elle y est entrée en 2007, Laurence Olivier a vu la ville gagner en reconnaissance. «On a longtemps regardé Marseille pour tout autre chose que sa force d'innovation, déplore-t-elle, mais cela ne nous a pas empêchés de travailler, avant tout pour répondre aux enjeux locaux, liés à l'environnement et à la présence de la Méditerranée. Voilà la force de cette ville si singulière.»”
Retrouvez l’article de Madame Le Figaro dans son intégralité ici.
Et sur le chemin…
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