Le numérique en faveur de la RSE
Cette semaine on s'intéresse à la technologie responsable et à l'égalité numérique et on découvre un plateforme d'accès aux référentiels RSE.
La « technologie responsable », une démarche encore peu usitée dans les entreprises françaises
“Les entreprises françaises l'ont bien compris : les technologies numériques servent leur décarbonation. Mais leurs équipes dirigeantes omettent souvent d'intégrer les initiatives et les projets dont elles sont porteuses dans leurs objectifs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Ce profond décalage ressort d' une étude que le groupe Accenture consacre à la technologie responsable et dont le contenu est dévoilé ce vendredi matin au 4e Forum de Giverny. Un rendez-vous annuel de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) où plusieurs ministres sont attendus.
Chez 96 % des 60 sociétés sondées, parmi les 500 entreprises couvertes à l'échelle mondiale par l'étude de ce conseil en stratégie, le numérique est perçu comme un levier important de mise en oeuvre des initiatives de développement durable. Mais il a, lui aussi, des impacts importants sur l'environnement, comme ceux liés aux déchets informatiques. « Avec l'essor des activités en ligne et des technologies utilisées par les populations, la consommation d'énergie et les émissions de CO2 dues à l'Internet explosent », pointe l'étude.”
Retrouvez l’article de Les Échos sélectionné par Michel Dubosqueille, Directeur Associé IT & Cybersécurité chez X-PM, dans son intégralité par ici.
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Le numérique au coeur des engagements sociétaux du groupe La Poste
“Le socle établi en interne, le numérique s'est imposé comme un pilier de l'engagement sociétal du groupe, devenu « entreprise à mission » en juin 2021 . « Notre transition numérique a trois niveaux de lecture : celui, impératif, de la conformité, puis celui de l'exemplarité… Enfin, nous voulons avoir un impact positif sur nos clients, et plus globalement, sur notre écosystème », explique Muriel Barnéoud.
Dans le cadre de la transformation pilotée par Nathalie Collin, directrice générale adjointe chargée de la branche grand public et numérique, le groupe souhaite ainsi contribuer à « l'avènement d'un numérique éthique, inclusif et frugal ». D'où une charte, des formations, des outils d'évaluation et une gouvernance visant à garantir des règles saines, tant pour l'intelligence artificielle que la gestion des données.
La Poste s'est engagée plus largement à l'accessibilité numérique, proposant aides et formations à destination des 13 millions d'« illectroniques » estimés en France, ces exclus du monde numérique, faute d'équipement ou d'aptitude. « Nous profitons des moments où nous croisons ces personnes - physiquement - dans notre réseau pour les aider, les orienter vers nos formations ou vers des partenaires », explique Muriel Barnéoud. Près d'un million les personnes ont ainsi bénéficié depuis 2019 d'un accompagnement, sous des formes multiples.”
En France, 17% de la population est concernée par la fracture numérique. De nombreuses entreprises telles qu’Orange et AÉSIO Mutuelle s’engagent également en faveur de l’égalité numérique.
Retrouvez l’article de Les Échos dans son intégralité par ici.
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Les référentiels RSE de Positive Workplace accessibles gratuitement
“Pour avoir une approche structurée permettant une bonne analyse des enjeux clés par les parties prenantes, les entreprises doivent s'appuyer sur des référentiels reconnus en matière de RSE. Normes ISO, référentiels issus de labels RSE, les outils sont divers et complémentaires.
La fameuse norme ISO26000 est conçue comme un guide et contient des lignes directrices relatives à la responsabilité sociétale c’est-à-dire des recommandations afin d’aider les entreprises à définir les modalités d’intégration de la RSE au sein de leur organisation.
Néanmoins cette norme est non certifiable : On ne peut pas être certifié ISO26000, mais on peut la suivre pour prouver son engagement. Cependant, la grande majorité des référentiels utilisés par les labels généralistes RSE ont basé les leurs sur l’ISO 26 000.
L’utilisation de ces référentiels est salvatrice pour les entreprises qui cherchent à structurer leur démarche RSE, car elle permet de se rendre compte dans un premier temps de l’étendue du spectre couvert par la RSE, et ensuite d’identifier les points où l’entreprise pourrait s’améliorer et mettre en place des actions concrètes pour améliorer sa durabilité et sa résilience dans un monde de plus en plus fragile.”
Retrouvez l’article de L'info durable dans son intégralité par ici.
Et sur le chemin…
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