Hôpital, logement, cosmétique : zoom sur des initiatives à impact positif inspirantes
Cette semaine on s'intéresse à la rationalisation des prescriptions de pansements issue d'une thèse universitaire, aux avantages de l'habitat participatif et comment concilier beauté et écologie.
Le CHU de Bordeaux lance un projet de prescription écoresponsable des pansements
“La surconsommation de pansements, notamment en France, génère une importante masse de déchets et de microplastiques, polluant l'environnement. En sortie d'hospitalisation en particulier, un patient porteur de plaies qui ne sont pas encore cicatrisées reçoit une prescription "pas toujours écoresponsable", a indiqué Cécile Rougier, cadre de santé de l'équipe mobile, en session orale, le 16 janvier.
Ce patient sort parfois de la pharmacie avec plusieurs sacs de boîtes de pansements, primaires et secondaires, et des compresses en plus. Mais parfois, l'infirmière qui vient faire les soins à domicile a l'habitude d'utiliser d'autres pansements que ceux fournis; parfois elle va les utiliser, parfois elle va en represcrire; souvent il en reste trop, a-t-elle poursuivi.
La direction du CHU de Bordeaux s'est engagée dans la transition écologique en créant notamment des unités de soins durables (cf dépêche TecHopital), agissant pour une consommation responsable des dispositifs de soins et, concernant les pansements, il s'agit d'"essayer d'engager les infirmières dans une prescription responsable en sortie d'hospitalisation".
Le projet cible les infirmières car ce sont elles qui ont l'expertise de réfection des pansements, une pratique de soin complexe -"c'est leur rôle d'exécuter la prescription et de faire les pansements" dans le cadre d'une cicatrisation dirigée.
Retrouvez l’article de Tec Hôpital dans son intégralité ici.
Gagnez du temps et abonnez-vous à cette newsletter qui vous pousse chaque mardi matin les 3 articles de la semaine à ne pas louper sur l’impact positif !
Coopératives, jardinage et entraide : les nouveaux modèles de l’habitat participatif
“Défini dans la loi Alur de 2014, l’habitat participatif désigne en France une démarche citoyenne qui permet à des habitants de constituer un collectif afin d’imaginer un projet immobilier, d’inclure dans celui-ci un certain nombre d’espaces mutualisés puis, après sa construction, d’en assurer la gestion.
Collectif d’habitants
Le dispositif est depuis longtemps visible à l’étranger, notamment en Suisse, où il repose sur le modèle juridique de la coopérative d’habitants. Là-bas, le logement est construit par une société à but non lucratif et ses occupants en sont conjointement (et non individuellement) propriétaires. Après une première adhésion payante à la coopérative, ils s’acquittent, chaque mois, d’un loyer qui couvre le coût de revient et la gestion du bâtiment. « Être sociétaire d’une coopérative d’habitation, résume l’Association romande des maîtres d’ouvrage d’utilité publique (Armoup), c’est se retrouver à mi-chemin entre le statut de locataire et de propriétaire : les membres d’une coopérative d’habitation n’achètent pas leur logement, mais ils en sont les copropriétaires, par le biais de leurs parts sociales. »”
Retrouvez l’article de Télérama dans son intégralité ici.
Gagnez du temps et abonnez-vous à cette newsletter qui vous pousse chaque mardi matin les 3 articles de la semaine à ne pas louper sur l’impact positif !
Le maquillage au sens propre, de Priscille Charton
“Côté packaging, Priscille Charton a répondu à la problématique du stade ultime de l’écoconception par un emballage 100 % d’origine naturelle, compostable industriellement, ne laissant aucun résidu chimique et plastique dans la nature. La formule, elle, est pensée bien au-delà du bio ou du clean.
« Nous nous sommes rapprochés de l’association Pour une agriculture du vivant, qui œuvre en faveur des pratiques agricoles régénératrices. Avec elle, nous avons sélectionné des ingrédients qui agissent positivement sur la peau et l’environnement », explique Priscille Charton. Il y a le chanvre, plante aux vertus apaisantes qui a la capacité de dépolluer les sols, ou le seigle bio, qui donne bonne mine, tandis que ses kilomètres de racines favorisent la biodiversité.”
Retrouvez l’article de Le Monde dans son intégralité ici.
Et sur le chemin…
👉 Envie d’échanger avec l’un de nos associés sur votre besoin en management de transition autour de l’impact positif mais pas que ? Identifiez notre associé expert de votre secteur ici et prenez contact avec lui en quelques secondes !
👉 Réaliser une mission de manager de transition vous tente ? Prenez contact avec Lilit Babayan : lbabayan@x-pm.com et faisons connaissance !
👉 Vous êtes sur LinkedIn ? Nous aussi ! Suivez notre page ici et restons connectés
Et merci d’avoir lu notre newsletter Impact Positif jusqu’au bout ! ;-) Saisissez votre mail ici si vous n’êtes pas encore abonné(e) et recevez la gratuitement chaque mardi matin !